Ce nouveau nom témoigne de l'évolution du nombre de propriétaires en France et souligne l’indéfectible détermination de l’Union Nationale des Propriétaires Immobiliers (UNPI), seule entité à représenter et soutenir les propriétaires privés en France, qu’ils soient petits ou plus dimensionnés.
Histoire d’une référence de la presse immobilière
Créée en 1897 par l’Union Nationale des Propriétaires Immobiliers sous le nom « La France Immobilière », devenue « L’information immobilière » en 1968, puis « La Propriété Immobilière » en 2009, la revue a traversé les époques pour devenir « 25 millions de propriétaires » en 2013. 2024 marque un nouveau tournant avec l’adoption du titre « 35 millions de propriétaires » effective dès septembre 2024.
Ce changement de dénomination de la revue est également l’occasion d’enrichir son contenu avec de nouvelles rubriques et une présentation plus agréable, conformément au projet soutenu par Sylvain Grataloup, nouveau directeur de la publication de la revue et Président de l’UNPI.
Une revue engagée
Depuis sa création au dix-neuvième siècle, la revue œuvre pour informer, accompagner et défendre les intérêts des propriétaires. Le nouveau nom de la revue est en adéquation avec l'évolution du nombre de propriétaires en France.
Comptant chaque mois plus de 150 000 lecteurs, 35 millions de propriétaires est LA référence nationale dans le paysage de l’immobilier et se distingue des autres revues par son objet unique : LA PROPRIETE.
Les propriétaires au cœur de l’action de l’UNPI et de sa revue
La revue « 35 millions de propriétaires » et sa nouvelle identité reflètent la mission de l’Union Nationale des Propriétaires Immobiliers (UNPI), seule entité à représenter une population toujours plus large et diversifiée de propriétaires en France : petits ou grands, occupants ou bailleurs, détenteurs de résidences principales ou secondaires, de biens en copropriété ou en monopropriété, de logements ou d’autres types de biens (locaux commerciaux par exemple). L’UNPI, défenseur unique de la propriété depuis le dix-neuvième siècle, est l’interlocuteur naturel et privilégié des pouvoirs publics en France.